Dictionnaire du Poignard Subtil (17/02/2009)
FLEURS:
"Si tu ne veux pas que meurent les fleurs de ton jardin, ouvre ton jardin"
(Antonio Porchia, Voix, traduction Roger Caillois, GLM, 1949)
06:30 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : antonio porchia, dictionnaire du poignard subtil | Imprimer
Commentaires
Bravo d'y être arrivé. Ce n'est pas une victoire, c'est un triomphe. Désormais, on ne parlera plus autrement de vous que comme du Henri Pescarolo de l'art singulier, du Jacky Ickx des désaxés . Je regarde les heures où ont été déposés vos échos et imaginent vos yeux rouges, exorbités, au petit matin blême, comme deux larmes de sang sur un drap. Et merci de la gentille attention de 0h. 05.
Amitié indéfectible.
Régis Gayraud
Écrit par : regis gayraud | 18/02/2009
Merci de vos mots amicaux que je prise soyez-en sûr. Pour ce qui est des larmes de sang, n'exagérons rien. J'ai tout de même craqué vers 4 heures du matin le 17, j'ai un peu triché en insérant deux notes en programmation pour 5 heures et 6h30... De même le matin du 16, j'avais programmé une note pour le réveil à 7 heures. 24 heures, c'est tout de même bien long... Cependant, toutes les autres notes, la majorité, ont été produites en direct. Le rassemblement des photos, les recherches documentaires fatiguent un peu moins les yeux, et quand on écrit, on regarde le clavier et pas l'écran, ce qui fatigue un peu moins. Ceci dit pour encourager d'autres internautes à relever le défi bien sûr. Pescarolo et Ickx ont été eux aussi un jour détrônés. Au champ du labeur, moi aussi, j'attends mon vainqueur, comme disait l'ami Ferdinand... Ferdinand... complétez les pointillés.
Écrit par : Le sciapode | 18/02/2009