Pour les amateurs, un peu de romantisme dégénérant... (13/04/2014)
Je ne résiste pas au désir de partager ce petit moment (3'05) de bonheur en mettant en ligne ci-dessous ce chef d'œuvre du regretté Henri Salvador qui m'a mis de bonne humeur ce dimanche matin.
C'est dédié en premier lieu à un camarade cantalou qui prise fortement les airs et les chansons se rapportant à la dive bouteille. Connaissait-il cet opus du roi Henri?
Henri Salvador, "Je bois à ton souvenir" (paroles et musique de R. Conrad et Mitch Murray, paroles françaises de Bernard Michel), 1966 ; sur la compil Henri Salvador, "Loufoque" (1999, label EMI)
11:44 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : henri salvador, compilations de chansons, chanson française, ivresse, romantisme parodié, boissons fortes | Imprimer
Commentaires
Non, mais je la trouve un peu sinistre...
Celle-là par contre : https://www.youtube.com/watch?v=VeNm7Co7MfA&feature=kp
Écrit par : Emmanuel Boussuge | 14/04/2014
Oui, celle-là aussi est bien, comme plusieurs autres ("une bonne paire de claques dans la gueule" par exemple...). Mais je persiste avec celle que j'ai mise en ligne. Vous manquez peut-être un peu de détachement humoreux là-dessus mon cher Emmanuel...
Écrit par : Le sciapode | 14/04/2014
Absolument.
Écrit par : Emmanuel Boussuge | 15/04/2014
La meilleure chanson de Salvador, celle pour laquelle je lui décerne le titre envié de «situ d'honneur», c'est «Je peux pas travailler».
Écrit par : L'aigre de mots | 15/04/2014
Et si vous voulez franchement vous marrer, allez visionner «Juanita banana» sur You Tube, ça déchire un max, les moustaches.
Écrit par : Félicie Corvisart | 15/04/2014
Moi, ma préférée, c'est : «Faut rigoler, avant que le ciel nous tombe sur la tête. Nos ancêtres les Gaulois...» Ah! Salvador, l'antidote absolu à l'esprit de lourdeur !
Écrit par : Simonetta Vespucci | 15/04/2014
Ce qui est drôle, aussi, c'est qu'ils se soient mis à deux pour écrire les paroles. Un pour tenir le stylo, un pour tenir la bouteille? Il fallait au moins ça, hips!
Écrit par : Céline Botzaris | 15/04/2014