Etrange petite pierre, sur laquelle on ne bâtira pas d'église (11/07/2011)
Voici la photo que j'ai prise naguère, dans un environnement français que mes lecteurs reconnaîtront sans trop hésiter. A gagner ce que j'ai en rayon pour le moment, à savoir une bêtise de Cambrai...
Moi, je pense à un corps nu comme saisi au moment où, la tête s'écrasant contre le sol, la suite du corps est restée suspendue, dans un équilibre étrange, cul en l'air, les cuisses serrées, alors que manquent les mollets et les pieds... Les bras étant revenus se croiser sous la poitrine pour assurer l'amortissement de la chute sans doute (peine perdue! L'écrasement a annulé tout espoir). Sinon, en dehors de la vision de ce corps cul par-dessus tête, on peut également songer à une vulgaire crotte de chien façonnée là de façon farceuse par le maître des lieux (auquel, usuellement, on ne supposait pas tant d'humour). Photo Bruno Montpied, 2011
20:09 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : paranoïa-critique, environnements spontanés, art brut | 
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Commentaires
S'est-elle écrasée dans la Drôme, la donzelle de pierre?
Écrit par : Emmanuel Boussuge | 30/07/2011
Amateur de "cadeaux formidables" comme je vous connais, je vois que vous brûlez. Mais mon huissier, juge final de ces jeux, demande le nom exact du site auquel vous pensez (et qui n'était pas très dur à imaginer, étant donné le fait peut-être que j'ai bien dû me trahir auprès de vous en privé au sujet de mes balades estivales).
Ici, pour une fois, une réponse correcte = une bêtise.
Écrit par : Le sciapode | 30/07/2011
Se cambrer à Hauterives est une bien belle bêtise a dû se dire la demoiselle rétrécie, au moment où ses monts, ses seins, oui, ses miches, elles, lui rentrèrent dans le palais et lui coupèrent définitivement la chique.
Écrit par : Emmanuel Boussuge | 03/08/2011
Bêtise bien reçue. Elle fond sous ma langue.
Écrit par : Emmanuel B | 13/08/2011
Bonjour !
Oui en effet avant l'institutionnalisation ou la création de l'école, il y avait les sciences naturelles dont l'homme s'inspire dessus pour apprendre par l'observation des créatures.
Et c'est de ça justement que nous avons discuté ce matin à la citadelle en face de la poste de Bordj Bou-Arréridj BENBETKA Mokhtar et moi.
Faudra-t-il oui ou non, laisser des traces dans la vie ? S'il faut laisser des traces : lesquelles ? Si non : lesquelles effacer pour ne plus y revenir ?
Naguère il y avait un grand caillou dénommé en kabyle : " Avlate Ouw'Akham n'Bza." Il ne reste rien de celui là et ni même de photo souvenir du temps pendant lequel on l'utilisait comme une sorte de banc.
Écrit par : AMAROUCHE | 12/02/2013