Les épouvantails de Denise et Maurice en voyage à Mamers (Sarthe) (25/12/2016)
Qu'on se le dise dans les bocages et ailleurs, le film de Remy Ricordeau, Denise et Maurice dresseurs d’épouvantails, sera projeté en sa présence le mardi 24 janvier à 20h au cinéma Rex de Mamers (dans la Sarthe) ainsi que le dimanche 29 du même mois à 14h dans le cadre du festival "Regards sur le monde rural". M'est avis qu'on devrait trouver aussi à cette occasion le livre au titre éponyme publié dans la collection La Petite Brute (éd. L'Insomniaque). Et, non, avant qu'un commentaire ne s'empare de la question, autant préciser tout de suite que le maire de Mamers n'est pas Noël Mamère (ce serait trop beau)...
On reconnaît, sur la photo de l'affiche, l'oie Fifi du couple créateur d'épouvantails, en train de défendre son épouvantail favori.
16:29 | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : denise et maurice dresseurs d'épouvantails, denise chalvetn remy ricordeau, mamers, festival regards sur le monde rural | Imprimer
Commentaires
La proximité du lieu de ce spectacle de dressage d'épouvantails avec la cité dont est originaire le dénommé François Fillon, candidat (re)dresseur de citoyens à la prochaine érection présidentielle, est-elle fortuite ou délibérée ? De même le choix de l'oie sur l'affiche, est-il un message subliminal en relation avec cette même proximité ou ce même personnage ?
Enfin, ne boudons pas notre plaisir pour une fois qu'il se passe quelque chose de joyeux dans la Sarthe car rappelons-le, ce département situé au milieu de nulle part, se caractérise d'abord entre autre par le triste privilège de détenir le record de France du taux de suicide par habitant le plus élevé. Comme il détient également le record national du nombre de jours pluvieux dans l'année, seuls des esprits mal intentionnés et de mauvaise foi seraient cependant susceptibles d'établir une relation entre le sieur sus-mentionné et ces deux remarquables records.
Écrit par : Zébulon | 25/12/2016
Je vous fais remarquer que le fief du sieur Fillon (Sablé- Solesmes) est à 95 km de Mamers, il y a donc moins de "proximité" entre Mamers et Sablé qu'entre Sablé et Angers par exemple.
Que la Sarthe n'a pas le taux de suicide le plus élevé de France, ni une pluviométrie particulièrement forte, que le département n'est pas au milieu de nulle part (reste a définir ce fameux "nulle part" dont Le Mans serait la capitale ).
Qu'un commentaire incluant les nombreux et modestes créateurs de cette belle province du Maine (Sarthe et Mayenne) aurait été plus pertinent que vos aigreurs politiques aux relents de champagne et foie gras mal digérés.
Écrit par : mansot | 25/12/2016
Coincée entre la Bretagne, la Normandie et l'Anjou, la Sarthe constitue un "nulle part" ubuesque, comme la Pologne qui n'existe pas, bien sûr... comme tout le monde le sait !
Pour le reste, cher Mansot, je suis heureux de vous savoir bien vivant et d'apprendre qu'il a cessé de pleuvoir. Puis-je reprendre un peu de champagne pour fêter ça...?
Écrit par : zébulon | 26/12/2016
Je dois dire, M. Zébulon, que je reconnais que M. Mansot parait bien avoir raison en indiquant que ce n'est pas la Sarthe qui détient (du moins en 2013, ce n'était pas le cas) le record du taux de suicide par habitant. En 2013, le département n'arrivait qu'en 5e position, le premier étant les Côtes d'Armor. Et c'est vrai aussi que donner les noms de quelques créateurs de ce département et de la région, en rapport avec le sujet du film "Denise Maurice, dresseurs d'épouvantails", comme Fernand Châtelain par exemple, qui avait créé un cocasse site de statues foutraques à Fyé, sur la route d'Alençon au Mans (aujourd'hui restauré de façon raide et aseptisée), n'eût pas été de trop.
Écrit par : Le sciapode | 26/12/2016
La Sarthe, pour y avoir passé deux mois en 1970 (à Avoise), et pour y avoir eu un oncle qui y est mort sous le patronage de Sainte Cirrhose (à la Chapelle-Gauguin, en 1975), reste pour moi un de ces départements indéniablement pourris, où croupissent de pauvres hères à jamais infantilisés par les curés, ces immondes curés qu’on nous montre aujourd’hui en exemple comme le parangon d'une modernité XXIe siècle (ô siècle qui ne sera jamais le mien!). Quant à Sablé sur Sarthe, cette bourgade puait, mais puait de manière grandiose, de manière médiévalement grandiose, en ces mêmes années 1970, prise en tenaille entre les miasmes de la chicorée Willot (ô chicorée française, fadasse emblème de la ladrerie piteuse du bon peuple de France!) qui avait investi son château et l’odeur putride de l’abattoir qui déversait ses vidures dans l’Erve, rivière qui ressemblait à un cloaque. Je hais la Sarthe pour ses curés et la petitesse du cerveau de ses habitants, pour leur vesses hypocrites, pour leurs petites masturbations chrétiennes et même la Mayenne, malgré ses hobereaux encore conquérants, ne m’est pas plus abjecte, parce qu’au moins il y a Laval en elle, et Laval a donné Jarry, le Douanier et Ambroise Paré. Mais pire encore - à quelques kilomètres de sablé surgit Solesmes, ignoble falaise bénite de pisse religieuse, où M. Fillon possède, dit-on, un... manoir!!!
Écrit par : Atarte | 26/12/2016
Quel plaisir de redécouvrir son département à travers les yeux d’autrui.
La Sarthe est devenue une contrée trois fois maudite, un gast pays, un nid d'obscurantisme pestilentiel, un Mordor où des moines fanatiques, une armée de chouans et un notaire de province fou complotent pour s'emparer de la France.
L'ombre de l'abbaye de Solesmes est aux portes de Paris.
Y'a certainement moyen d'exploiter tout ça pour le tourisme, un parc à thème peut être, il y a bien des gens qui payent pour aller à Tchernobyl !
Écrit par : mansot | 26/12/2016
Je constate qu'on y déverse toujours autant de propos haineux sur ce blog ...
Un habitant du Maine : Michel l'égaré
Écrit par : Michel l'égaré | 26/12/2016
Je ne comprends pas le sens de votre message, vous vous êtes égaré dans le Maine et vous ne trouvez plus la sortie ? Vous avez besoin d'aide ?
Écrit par : Ariane | 26/12/2016
Vous êtes bien sévère pour la Sarthe, M. Atarte, qui est loin d'être le cloaque existentiel de vos souvenirs d'enfance. On y trouve de jolies bourgades, comme Malicorne ou La Ferté-Bernard, d'élégants châteaux, comme Poncé ou Le Lude, des sites impressionnants comme le donjon de Mondoubleau bâti en pierres fauves, ou les très inattendues Alpes Mancelles. Quant à la curaille, son emprise sur les esprits a aujourd'hui notablement diminué, plus d'un tiers des habitants se déclarant dans une enquête de 2006 sans religion.
Écrit par : L'aigre de mots | 26/12/2016
Bonjour Ariane,
Vous me dites « ne pas comprendre le sens de mon message » …
J’y écrivais que je vis dans le Maine (plus précisément en Mayenne, à quelques kilomètres de la Sarthe), et que les propos haineux tenus par cet « extrémiste radical », se cachant sous le pseudo « Atarte », n’étaient pas des plus agréables à lire pour les habitants de cette contrée …
Quant à « Michel l’égaré » : c’est le pseudo que j’utilise quand je viens (très rarement !) sur ce forum … « égaré » n’est pas à prendre dans le sens géographique (je m’y sens bien en Mayenne !), mais plutôt dans le sens où je ne m’y retrouve pas face à toutes aigreurs fielleuses déversées sur ce forum …
Je quitte donc ce dernier, pour me retrouver !
Écrit par : Michel l'égaré | 26/12/2016
Oh Michel, je vous trouve bien injuste. Il n'y a pas tant d'aigreurs fielleuses sur ce forum. Quelques embardées passionnées (et lyriques) un peu incontrôlées quelquefois, mais ce sont les débordements de la vie elle-même. Et puis le plus important sont les chroniques de l'auteur, pas les commentaires des lecteurs.
Ariane
Écrit par : Ariane | 26/12/2016
Merci, L'Aigre, pour ces propos paisibles et lumineux, qui tressent une guirlande sonore à partir de la charmante musique de ces doux noms. J'ai toujours rêvé de voir à quoi ressemblait le château du Lude, dont le nom laisse songeur. Votre commentaire ressemble à une chanson de Jacques Bertin (ceci dit pour amadouer Michel "l'Egaré" qui je le sais sait autant que moi apprécier ce poète), ce qui n'est pas peu dire.
Écrit par : Le sciapode | 26/12/2016
Monsieur l’Aigre, Mondoubleau se trouve dans le département de Loir-et-Cher, et non pas dans la Sarthe. Ne mélangeons pas, je vous prie, torchons et serviettes.
Écrit par : Atarte | 30/12/2016
Ah merci, Mademoiselle Ariane, de prendre la défense de l'auteur de ce blog, votre serviteur, il y en a au moins une, parmi ces "fielleux" pleins de "haine"...
Je ferai remarquer à Michel que la haine pour certains Sarthois a parfois des raisons d'être, et qu'il n'a pas à se sentir visé par une bordée d'injures qui ne concerne en réalité qu'une partie de la population d'une région que pour ma part je trouve fort séduisante, et riante (en plus, j'aime la pluie, M. Zébulon, bien en accord avec mon tempérament mélancolique), à savoir la curaille sarthoise, ou le candidat LR aux gros sourcils (qui donne l'impression qu'il nous fait perpétuellement les gros yeux). Ne voit-il pas que le sieur Atarte se laisse emporter par une coupable complaisance littéraire, brochée sur une tradition de l'injure? Et que sa passion emporte tout, le bébé et l'eau du bain...
Il y a de la provocation là-dessous, de l'humour noir. Ne me dites pas qu'un Mayennais ou qu'un Sarthois puisse en manquer comme ils paraissent manquer de soleil à en croire M. Zébulon...
Vos amalgames, sur la supposée haine qui se déverserait sur ce blog, eux aussi, me paraissent exagérés et pour tout dire, malhonnêtes.
Écrit par : Le sciapode | 26/12/2016
J'espère que ce déchaînement de passions à propos de la Sarthe ou du Maine ne dissuadera pas les habitants des départements voisins de venir à Mamers à la rencontre de Denise, de Maurice et de leurs étranges créations. D'autant que le cinéma Rex de Mamers mérite d'être connu car pour y avoir déjà présenté un film, je sais qu'il dispose de deux très belles salles et est animé par une équipe de cinéphiles absolument remarquable qui offre au public local une programmation aussi exigeante que diversifiée.
Pour ceux qui veulent connaitre le détail de la programmation de ce festival:
http://www.agroforesterie.fr/actualites/2016/documents/REGARDS-SUR-LE-MONDE-RURAL-2017.pdf
Par ailleurs, comme l'indique le Sciapode dans sa notule (que je remercie au passage pour avoir annoncé cette manifestation) le livre éponyme "Denise et Maurice, dresseurs d'épouvantails" accompagné du DVD sera bien sûr proposé à la vente le soir de ma présence au prix "éditeur", soit 10€ au lieu de 15€.
Écrit par : RR | 27/12/2016
Il y a partout en France, des Basses-Pyrénées au Bas-Rhin, du Finistère au Jura et du Pas-de-Calais aux Alpes-Maritimes, des gens stupides, des crétins, des méchants, et à côté, des personnalités lumineuses et vives, et puis des braves gens, et puis des Atarte, tristes sires qui jouent aux poseurs, aux affranchis, aux sublimes dans la détestation. J’aime la Sarthe et ses rillettes, son circuit des 24 heures que j’aimais tant entendre vrombir la nuit au fil des flashs d’information dans mon enfance, rêvant de héros fendant de leurs phares les crépuscules pluvieux de juin. Monsieur Atarte, rejoignez Bousquetou et Du Haryag dans le cimetière des vieilles peaux mortes de ce blog, et laissez nous revenir Michel l’Egaré dont les propos justes et sourcilleux nous manquent déjà.
Écrit par : Le Bonniec | 28/12/2016
Je vous rejoins Mme ou Mr « Le Bon-niec » : dans toutes les contrées, nous rencontrons des « personnalités lumineuses » ! Dans le domaine de l’Art Brut/Singulier/Naïf/Populaire contemporain qui nous anime et anime ce blog, la Sarthe nous en offre de biens belles ! Je crois que Bruno a déjà cité Fernand Chatelain. Nous pouvons également ajouter Emile Taugourdeau, Albert Chasseray, François Monchâtre, pour ne citer que les personnalités les plus emblématiques de cette région.
Michel l’égaré
Écrit par : Michel l'égaré | 29/12/2016
Sans doute suis-je injuste. A Avoise, un dimanche de juillet 1970, il y eut un accident. Un enfant de cinq ans à peu près fut renversé par une auto au sortir de la messe. Rien de grave, l’enfant ne fut que très légèrement blessé. Mais l’incident m’a marqué, car je l’ai vu, du haut de mes onze ans, à quelques mètres de moi qui regardais, au rez-de-chaussée de la maison que nous louions, de derrière le carreau de ma fenêtre, sortir le flot des ouailles de la petite église. Je l’ai vu, l’enfant, passer sous l’Aronde bleue, bouler sur le côté comme un lapin et se recroqueviller tout contre le caniveau. Un long moment, la foule resta inerte. Mon père, lui, cet athée renforcé, a vite ouvert la porte, a pris l’enfant dans ses bras et l’a mené sur le divan du salon, en demandant un médecin, tout en invectivant, à son habitude, la masse des bonnes gens prises de torpeur. N’en déplaise à ceux qui lui reprochent encore, vingt ans après sa mort, certaines de ses manières, il avait de ces élans hugoliens. Un peu plus tard, la mère arriva, très vaguement éplorée, entourée de quelques autres enfants. On lui posa quelques questions. Il apparut qu’elle ne se souvenait plus clairement du nom de l’enfant qui gisait. Elle demandait aux autres enfants, et l’un d’entre eux le lui souffla. Puis elle expliqua dans un substrat de confusion qui devait lui rester d’une très ancienne éducation : « Vous comprenez, des mômes, j’en ai treize, alors, les noms... »
C’est un de mes grands souvenirs de la Sarthe. Et puis aussi, je me rappelle le responsable de l’accident, un jeune ouvrier agricole en chemise blanche (c’est son image qui me revient à chaque fois que j’entends le mot « endimanché ») qui sentait le vin et attendait près de sa voiture en tremblant la venue des gendarmes tandis que les bonnes gens chuchotaient : « Il paraît que c’est un repris de justice... »
Sans doute, donc, suis-je injuste. Mais n’ai-je pas quelques circonstances atténuantes?
Écrit par : Atarte | 30/12/2016
Hum...? "Les propos justes et sourcilleux de Michel l'Egaré..."? Sourcilleux, certes, mais "justes", je demande à voir, M'sieu Le Bonniec... C'est un Breton qui fait de la lèche à un Manceau (habitant du Maine), ceci explique sans doute cela (?).
Écrit par : James Song | 30/12/2016
Revenons à l’essentiel, non? Ce film sur ce charmant couple d’agriculteurs va passer dans un cinéma de Mamers. Il va aussi y être proposé le livre de l’ami Ricordeau. J’espère que ledit Ricordeau pensera à y apporter d’autres ouvrages de la même collection, "la Petite brute", qui a eu le malheur de ne pas être portée par un bon distributeur, mais par une de ces entreprises languissantes à l’image de Distique autrefois, si bien qu’elle est passée inaperçue à peu près dans toutes les librairies de province, et pas seulement dans cette Sarthe honnie de vous, Atarte.
Écrit par : Régis Gayraud | 30/12/2016
La justice (ou la justesse), on s'en moque un peu, M. Song, non? Moi, pour ma part, par exemple, je trouve plus érogène ce qu’a créé un peuple italique dominé par la combinazione et les excès que ce qu’a pu produire l’helvétique nation qui dort dans ses montagnes. Au Nord le chronomètre, juste et grave; au-dessous mais si lointaines, la Renaissance, les villes magiques... Ca y est, je vais me faire des ennemis du côté de Lausanne et d’ailleurs, et aussi du côté du Sciapode qui aime bien la Suisse et ses jolis petits trains d’altitude. (... Je vous rassure, oui, oui, j’aime aussi Nicolas Bouvier)
Écrit par : Isabelle Molitor | 30/12/2016
Voici qu'Isabelle Molitor se met comme Atarte à distribuer les bons et les mauvais points à d'autres pays, histoire peut-être d'ouvrir un nouveau front, qui distraira de la Sarthe.
Et c'est tout aussi arbitraire. La Suisse résumée à son horlogerie (et pourquoi pas à son chocolat et à son gruyère? Et à son art brut aussi, ne l'oublions pas, il y a trois musées d'art brut en Suisse, alors que la France n'en a qu'un), l'Italie à sa Renaissance (et à ses spaghetti, son Lambrusco, mon vin préféré entre parenthèses...), on est en plein dans une discrimination toute de lieux communs.
Au passage, nous dira-t-elle ce qu'est un peuple "italique"? Un peuple de gens penchés, par hommage à la tour de Pise sans doute?
Écrit par : Le sciapode | 31/12/2016
Je pensais plus à la justesse qu'à la justice dans ces propos de l'Egaré de service. Car enfin, voir de la "haine" à tout bout de champ (paranoïa rurale?), c'est un peu réducteur. Et plutôt que "sourcilleux", je vois le bonhomme plus susceptible qu'autre chose, prompt aux amalgames comme le dit le monsieur sciapode....
Écrit par : James Song | 31/12/2016
Peuple italique, peuple romain, peuple gras aussi bien : à chacun son caractère !
Écrit par : L'aigre de mots | 31/12/2016
c'es tmarrant, je tombe sur ce blog incroyable, et ce qui m'amuse c'est de remarquer à quel point plus les post sont courts, plus les commentaires sont nombreux, ce qui vérifie l'adage que la nature a horreur du vide...?
Écrit par : Baptiste Eric | 01/01/2017
Je ne veux pas en remettre une couche contre les détracteurs de la Sarthe, mais l'information prime avant tout, n'est-ce pas? Surtout lorsqu'il s'agit de défendre les archives de mon blog. Veuillez suivre ce lien http://lepoignardsubtil.hautetfort.com/archive/2014/05/16/les-figures-mecanisees-de-monsieur-alexis-5370639.html#comments pour vous représenter qu'en dehors de quelques créateurs et artistes de la Sarthe emblématiques, comme l'écrit Michel "l'Egaré", il y a aussi des créations restées plus anonymes, comme me l'avait signalé en 2014 un certain M. Tireau. Grâces lui soient encore rendues...
Écrit par : Le sciapode | 02/01/2017