Dimanche 19 juin, on causera de petite brute et d'épouvantails à la Halle St-Pierre... (14/06/2016)
Dans quelques jours (dimanche 19 juin, rendez-vous à 15h), nouvelle présentation des quatre titres de la Petite Brute à l'auditorium de la Halle St-Pierre avec la projection du film de Remy Ricordeau, tiré du troisième livre de la collection (au titre éponyme), Denise et Maurice, dresseurs d'épouvantails. Je serai présent, ainsi que Remy Ricordeau, pour défendre et expliquer le projet de cette collection, montrer les livres, et notamment le quatrième titre, que j'ai écrit, Marcel Vinsard, l'homme aux mille modèles. L'entrée est libre, bien entendu.
Bruno Montpied, quatrième titre de la collection La Petite Brute
Ce dernier livre, qui est une petite monographie consacrée à un créateur d'environnement peu chroniqué jusqu'à présent (72 p., et 65 illustrations en couleur), sera en vente en avant-première à un prix exceptionnel (révélé le jour même, ou bien encore ici), à la manière d'une souscription en quelque sorte. Sa sortie en librairie n'est prévue en effet que pour octobre. Si vous voulez profiter de l'occasion, venez donc nous en serrer cinq et acquérir du coup quelques livres. Les autres titres seront également en dédicace : le premier de la collection, Remy Ricordeau, Visionnaires de Taïwan, le deuxième, Bruno Montpied, Andrée Acézat, oublier le passé, et le troisième, Remy Ricordeau, Denise et Maurice, dresseurs d'épouvantails. Ces titres, inutile de le rappeler, mais je le fais quand même, sont d'ores et déjà disponibles en permanence à la librairie de la Halle St-Pierre, qui reste LA librairie de référence en matière de documentation sur l'art brut et apparentés.
Les épouvantails-mannequins de Denise Chalvet et Maurice Gladine dans l'Aubrac, photo Bruno Montpied, 2012
Chez Marcel Vinsard (en Isère), un rassemblement de masques et sujets divers en polystyrène peint, ph. B.M., 2013
00:43 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : la petite brute, bruno montpied, remy ricordeau, l'insomniaque, halle st-pierre, environnements spontanés, environnements spontanés taïwanais, marcel vinsard, andrée acézat, denise et maurice dresseurs d'épouvantails, denise chalvet | Imprimer
Commentaires
« Venez donc nous en serrer cinq! » Vos efforts pour paraître cool sont tout à fait louables - quoiqu’un peu pathétiques, M. le Sciapode, car votre réputation d’alacrité n’est plus à faire.
Écrit par : Siger du Haryag | 17/06/2016
Vous voulez dire « âpreté », ou bien « acrimonie », ou bien vous cherchez un substantif qui serait formé sur « acariâtre »? Mais vous dites tout le contraire, avec votre « alacrité ». renseignez-vous, du Sangbleu, ou achetez-vous un dictionnaire! Pan sur votre gros bec bourbonien, nobliau à la gomme. Et n’oubliez pas que je est un autre.
Écrit par : Régis | 17/06/2016
"Je est un autre"... Je ne vous l'envoie pas dire, Régis Gayraud. Et les Siger, M'Bolo, Le Bonniec, Molitor, Corvisart, Zébulon, Atarte et autres Aigres de mots ne viendront pas nous contredire...
Écrit par : Le sciapode | 17/06/2016
Siger, c'est un peu n'importe naouak, votre récent commentaire... Ca me donne juste l'envie de faire une petite "gregeria" à la Gomez de La Serna : Alacrité, une allégresse où crisse comme une fêlure d'aigreur.
Écrit par : Le sciapode | 17/06/2016
Eh bien, comme disait M. Giscard d’Estaing, je me retire. Au revoir.. (chaise vide)
Écrit par : Siger du Haryag | 18/06/2016
Avec Gichcard Dechtaing, l'Académie Vrounzaise a accueilli un géant des lettres à sa mesure. Elle comprend un peu mieux pourquoi elle a fermé ses portes à Balzac et à Baudelaire.
Écrit par : L'aigre de mots | 18/06/2016