03/08/2007
Forêts sans fin
L'imaginaire est ce qui tend à devenir réel, a dit... Qui au fait ? (Novalis?) Et le réel aussi tend à devenir imaginaire. Bref, les vases continuent de communiquer.
(La première photo a été prise sur une vitre passée au blanc d'Espagne à Valuéjols, Cantal, la seconde a été prise dans un bois en contrebas du Puy Mary, B.Montpied, 2007)
02:49 Publié dans Poésie naturelle ou de hasard, paréidolies | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Poésie naturelle, analogies | Imprimer
Commentaires
Vous êtes passé en Planèze, à Valuejols sans mot dire ? Vous z'alors ! Moi j'aurais bien là de quoi maudire vous ....
Écrit par : Belvert | 03/08/2007
Répondre à ce commentaireEt alors? Que pasa à Valuejols? Pour vous faire bondir à ce point?
Eclairez-nous...
Écrit par : Le Sciapode | 04/08/2007
Répondre à ce commentaireRien ! Une simple association d'idées... des souvenirs de ma prime enfance et de mon adolescence : une odeur de vaches, de lait, de foin, et surtout le bon goût du cambajou, le jambon. Et comme on disait aussi dans la famille, le goût du "table"; le fromage d'appellation Cantal.
Je vous l'ai dit: rien de bloggable ; de l'infinitésimal mémoriel.
Comme ça, cher Sciapode, ça vous ira mon explication ?Serez-vous plus éclairé ? J'allais écrire plus illuminé ? Mais ça aurait pu déclencher quelques sourires, errant ci et là !
Écrit par : Le Pilote de Belvert | 04/08/2007
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