29/02/2012
Tandis que le petit monde dégringolant de Ruzena s'expose (à nouveau) à Lyon...
Des singuliers, il se peut qu'il s'en montre de fort belle facture à Lyon, mais pas où on le croit généralement, pas dans les piscines du bord du Rhône, mais plutôt à la Galerie d'Alain Dettinger, place Gailleton, non loin de la place Bellecour.
Ruzena, image sur le carton d'invitation à son exposition à venir à la Galerie Dettinger
C'est le retour dans ces murs de Ruzena, à partir du 3 mars jusqu'au 31 du même mois, le vernissage étant pour vendredi prochain 2 mars à partir de 18h. L'expo s'intitule "Parce que ce que j'écris peut se lire dans le noir", qui est une citation d'Antonio Lobo Antunes. Une lumière au fond du noir, ça éveille un écho avec l'expo autour de Victor Hugo que je vais annoncer ci-dessus (dans cette colonne de notes). C'est d'ailleurs étonnant parfois tous ces échos autour d'un même thème qui s'agrègent par une sorte de hasard orienté (hier, j'ai reçu aussi d'un correspondant éminent la nouvelle qu'il émergeait, lui et ses compatriotes britanniques, des "ténèbres", de l'hiver s'entend...).
Tiens, en prime, un Ruzena inhabituel, un dessin (Ex-voto (plumes), 19-11-05) avec collage (une plume), broderie sur papier calque, pas forcément exposé à Lyon, ph. Bruno Montpied
07:23 Publié dans Art singulier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ruzena, galerie alain dettinger, lumière du noir | Imprimer
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