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10/11/2007

Commentaire à "Le tribun de la Toussaint", note parue sur Animula Vagula, (version non tronquée)

   Animula Vagula a récemment tronqué le commentaire (du 8 novembre) que j'avais déposé au bas de sa note du 1er novembre consacrée à une diatribe de Gérard Sendrey contre un auteur connu du petit monde des amateurs d'art brut et alentours. Nos lecteurs, s'ils veulent comprendre l'ensemble du dossier (et apprendre également le nom de l'auteur en question) se reporteront au lien que nous mettons ici. Nous n'en disons pas plus, cette présente note n'ayant pas d'autre but que de donner la version intégrale (voir les passages en rouge) de notre commentaire frileusement expurgée par Animula sur son blog:
 
  "D'accord avec vous Animula,
c'est pas bien de ne pas citer les auteurs qu'on incrimine, même si c'était en l'occurrence pour titiller un auteur qui adore qu'on parle de lui, un chatouilleux des protocoles, un qui ambitionne de devenir un jour le Pape des arts singuliers en faisant taire tout ce qui cause à la ronde du même sujet, et qui se garde bien de parler de la valeur intrinsèque des écrits ou des oeuvres, un spécialiste du renvoi d'ascenseur et du copinage intéressé, bref du roi de la compil' que vous n'avez pas mis 5 min à démasquer en mettant vos délicates mimines dans le "cambouis de l'internet" (vous lui prêtez beaucoup de matérialité à ce fameux virtuel). Mais il fallait se méfier, Gérard Sendrey ne fréquente pas autant que vous la Toile. Moi, j'ai fait encore plus rapide (car je ne veux que votre bonheur), j'ai décroché le bigophone et je lui ai demandé sa référence. Le texte n'a pas été "maspérisé", il vient d'une autre source, à savoir du magazine "Art&fact", édité à Liège, n°25, paru en 2006 ; le morceau danchinesque provient d'un texte "adapté" de celui publié d'abord en Finlande (on a affaire à un roi de la compil' qui doit apprécier le copié/collé, le remontage, le démontage, etc.), son titre est "Jean Dubuffet et Alain Bourbonnais, de l'art brut à l'art singulier". Les mots sur la médiocrité (que je trouve aussi sensés, si l'on pense à tous ces festivals d'art singulier ardéchois ou lyonnais, et en même temps mal placés à côté des termes "création franche", "neuve invention", "art singulier", car cela entraînait une ambiguïté dans l'esprit des lecteurs peu informés), les mots sur la médiocrité y sont bien imprimés, comme me l'a bien assuré mon interlocuteur au téléphone.
Ecrit par : Bruno Montpied | 08.11.2007  "