07/10/2011
La beauté du zeste
Reçu de Régis Gayraud la note suivante:
"Je ne sais pas qui est ce Claude Citron (appelé plus loin Thierry dans l'article...), mais visiblement, de dessous son zeste, il voit la vie en jaune... citron."
Témoin l'entrefilet ci-dessous:
Tiré de Info, journal gratuit distribué à Clermont-Ferrand, 3-X-2011
10:52 Publié dans Noms ou lieux prédestinants | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : citron, noms prédestinants, aptonymes | Imprimer
Commentaires
On attend avec impatience la période orange de maître Citron...
Écrit par : L'aigre de mots | 07/10/2011
Répondre à ce commentaireC'est le zeste qui compte... les billets de banque
Écrit par : RR | 08/10/2011
Répondre à ce commentaireDans le même genre amusant, avez-vous remarqué, dans le corps de l'article, ce morceau de phrase : "L'association l'Auvergne pou un enfant..."? Il faut rétablir le mot manquant dans cette phrase et lire comme il convient : "L'association l'Auvergne :un pou un enfant". Il s'agit bel et bien d'octroyer et de garantir à chaque famille de pou une tête d'enfant pour la vie. C'est très bien de se préoccuper de ces charmants insectes.
Écrit par : Isabelle Molitor | 08/10/2011
Répondre à ce commentaireVous avez raison de rétablir la vérité. C'est effectivement une variante de cette opération menée depuis au moins vingt ans par une entreprise de lait maternisé : "Un bébé un arbre" où le jeu consiste à choisir dans une forêt pas loin de chez soi un bel arbre avec des branches bien droites pour y pendre un nourrisson.
Écrit par : Régis Gayraud | 08/10/2011
Répondre à ce commentaireOn est en Auvergne, que diable ! Un pou est un pou!
Écrit par : Isabelle Molito | 08/10/2011
Répondre à ce commentaireC'est le frère de John Citron ?
Écrit par : Cosmo | 08/10/2011
Répondre à ce commentaireSix troncs d'arbre se pressaient dans la forêt...
Écrit par : L'aigre de mots | 09/10/2011
Répondre à ce commentaireC'est ce qui s'appelle, chers amateurs de calembours, se presser le citron.
Écrit par : Le sciapode | 09/10/2011
Répondre à ce commentaireLes poètes, parfois, préfèrent presser les oranges :
«Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.»
Écrit par : L'aigre de mots | 09/10/2011
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