22/04/2017
Une maritorne connue de nos commentateurs...?
D'après Namio Harukawa.
00:15 Publié dans Tel quel | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : namio harukawa, sm, graphisme japonais, maritornes, femmes fortes, dominatrices | 
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Commentaires
Une solution pour les soucis aussi ?
Écrit par : Michel Nulpar, artiste brut | 23/04/2017
Répondre à ce commentaireJe crois reconnaître une commentatrice, infirmière à ses heures, prenant la température de son patient. 39,2...tu couves quelque chose mon chéri...
Écrit par : Darnish | 23/04/2017
Répondre à ce commentaireUne allégorie de l'individu sous le régime bienveillant de la démocratie représentative ? Face à la liberté des urnes et à la générosité des conquêtes salariales ?
Écrit par : Bilou | 23/04/2017
Répondre à ce commentaireVous vous demandez si cette maritorne est connue des commentateurs de ce blog. Pensez-vous sur cette illustration avoir reconnu l'un d'entre eux en particulier ? Telle qu'elle est formulée, votre question est lourde de sous-entendus... On aimerait en savoir plus.
Écrit par : Anabelle Poulidor | 24/04/2017
Répondre à ce commentaireon peut commencer à lancer quelques noms en vrac : ?Félicie Corvisart? Isabelle Molitor? Valérie?...
Écrit par : Baptiste Eric | 24/04/2017
Répondre à ce commentaireA défaut de reconnaître la maritorne elle-même, peut-être reconnaîtra-t-on au moins le malheureux (ou l'heureux énamouré) représenté ici en (dés-)avantageuse position. Son visage, pour ce qu'on en voit, me dit vaguement quelque chose, mais je me trompe peut-être...
Écrit par : Anabelle Poulidor | 24/04/2017
J'aurai bien volontiers suspecté Armand Goupil peindre un tableau dans le même esprit.
Écrit par : Valérie | 26/04/2017
Répondre à ce commentaireCe dessin est fils de son époque. Goupil vient d'une autre, bien différente, et participe d'un autre état d'esprit. Son humour était plus retenu, et ne dépassait pas certaines bornes.
Mais on pourrait supposer que s'il revenait aujourd'hui, ce genre de charge (c'est le cas de le dire) ne lui déplairait sans doute pas, et qu'il en ferait du miel pour ses prunelles (tout en le reluquant secrètement au fond de son cabinet de travail, comme il le faisait avec ses revues de naturisme). Quant à créer ce genre d'image, non, il ne faut pas y penser. Il y a là un gigantisme dans la déformation qui lui est étranger.
Écrit par : Le sciapode | 26/04/2017
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