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18/02/2015

Vue sur les Alpes sans bouger de Paris

poésue naturelle, délire d'interprétation, paysages dans des taches, au delà du réel, visions, hallucinations

Les Alpes de ma fenêtre à Montmartre, ph. Bruno Montpied, janvier 2013 

Commentaires

M'est avis qu'elles n'ont pas été nettoyées depuis bien longtemps, ces vitres ! Avec moi, pas d'art involontaire, éphémère ou spontané, faut qu'ça brille ! Si y avait qu'moi, j''vous nettoierais tout ça fissa !

Écrit par : Mr Propre | 18/02/2015

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Deux R dans M. pRopRe ? Vous êtes repéré, RR!

Écrit par : Atarte | 19/02/2015

Ch'ais pas si c'est RR, mais dans le bureau du Mister "Propre" en question, les vitres sont singulièrement opaques... C'est donc vraiment l'hôpital qui se fout de la charité.

Écrit par : Le sciapode | 20/02/2015

"De ma fenêtre" ne veut pas dire que les "Alpes" étaient dessus... Mais que je les voyais DEPUIS ma fenêtre.

Écrit par : Le sciapode | 18/02/2015

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Faut arrêter de boire !!! Je savais qu'à PARIS il pouvait neiger .....mais sur ces vitres, cela devient étonnant comme formes.....on remarque que la neige vire au gris voire au noir (bonjour la pollution !!!!)
En y ajoutant du rouge, du bleu ou du violet, cela aurait été encore plus parisien !!!

Par contre à Lyon au Gros Caillou, nous voyons par veille de tempête la Chartreuse, Belle donne, le Vercors, les Alpes dont le Mont Blanc...certes cela ne vaut pas cette vue originale des Alpes de Montmartre!!!!

Écrit par : Landry | 18/02/2015

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Vous encombrez un peu, m. Landry.

Écrit par : James Song | 18/02/2015

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Et je vous dis pas tout ce qu'on voit de Clermont!...
Hier, comme je marchais dans la rue, entre deux voitures garée au bord du trottoir, aperçu un objet noir qui m'a fait l'effet d'un échassier mazouté allongé sur le sol, ailes collées au corps, cou rejeté en arrière, tête baissée, bec presque parallèle au cou. C'était saisissant, j'en ai eu sur le champ un hérissement pileux et des frissons dans le dos. L'eau noirâtre dans laquelle baignait le cadavre ajoutait encore un peu d'angoisse. A y regarder de plus près, il s'agissait d'une longue botte de femme en daim noir, à haut talon, abandonnée là dans le caniveau. Pas vu la deuxième. Que faisait-elle là, comment a-t-elle échoué seule sans sa soeur sur ce bout de chaussée? A t elle été jetée d'une voiture de passage par une que l'on déshabillait, lancée comme une bouteille à la mer pour laisser un indice de quelque abominable forfait en cours? Ou alors, quelle élégante unijambiste s'en est-elle lassée? Hélas, la photo faite avec mon téléphone portable n'arrive pas à reproduire l'image d'oiseau mort qui m'a tant ému à l'instant fugace où je passais. Une bête botte au lieu de la bête morte.

Écrit par : Régis Gayraud | 19/02/2015

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Wouah ! C'est chaud Clermont !

Écrit par : DSK | 19/02/2015

Regardez mieux, Mr Propre, vous verrez qu'il s'agit d'amoncellements, non pas sur la fenêtre, mais sur le toit de zinc, pris en gros plan. On aperçoit en bas les doubles traits parallèles que forment les liteaux qui retiennent les plaques de zinc à leur jonction. Nettoyez vos lunettes, culturiste à la gomme!

Écrit par : Atrate | 19/02/2015

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Quel œil de lynx cet Atarte. C'est tout à fait ça... Cela se passe à la jonction entre un toit en pente, en bas de la photo, et un mur contre lequel le toit vient buter. Effectivement pris en zoom. Ce mur que j'observe depuis des lustres en face de mes fenêtres est ma Montagne Ste-Victoire.

Écrit par : Le sciapode | 20/02/2015

Tiens vous vous pseudonymez Atrate maintenant? Signerez-vous bientôt Nitrate par prolongement?

Écrit par : Le sciapode | 21/02/2015

Je vous plains m'sieur propre car vous êtes incapable de rêver.

Écrit par : voilesdoiseaux | 20/02/2015

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Eh oh! tout doux, tout doux, Mamzelle Niqab-de-Zozios, je m'en vais défendre l'ami RR caché sous le crâne luisant de Mr Clean. RR nous donne pas mal à rêver dans ses oeuvres cinématographiques - même s'il cache peut-être un peu trop sa sensibilité sous les oripeaux du réalisme documentaire, mais que voulez-vous, c'est un grand pudique - donc, cette accusation tombe passablement à côté la plaque, si c'est bien lui. Et surtout, cessez cette posture supérieure de la pitié condescendante. Jamais de pitié, Madame, jamais de pitié! "La pitié, c'est l'abâtardissement de l'amour".

Écrit par : Atarte | 20/02/2015

Et dites donc, mon cher Atarte, vous êtes bien gentil mais vos élucubrations ne sont que des hypothèses. Ce n'est pas parce qu'elles semblent corroborées par le maître des lieux qu'elles sont attestées pour autant.

Écrit par : RR | 21/02/2015

Le maître des lieux comme vous dites RR ne corrobore rien du tout. Atarte cherche à démasquer des pseudos, et ça c'est pas bien. S'il continue, on va le démasquer lui aussi.

Écrit par : Le sciapode | 21/02/2015

Ah oui, et dévoiler tous ses autres pseudos aussi ! Faudrait faire un peu de ménage sur ce blog, me nettoyer tout ça fissa ! Et puis ne pas oublier de laver le linge sale, j'peux appeler la mère Denis pour vous donner un coup de main si vous voulez.

Écrit par : Mr Propre | 21/02/2015

Vu où elle se trouve actuellement, je ne crois pas que la mère Denis puisse beaucoup vous aider, mister Propre...

Écrit par : Le sciapode | 23/02/2015

Mr Propre, quant à faire appel à ces vieilles décaties (qui vous reposent sans doute de toutes les ménagères pâmées devant votre effigie collée sur les bidons de leur détergent favori), appelez plutôt Cecilia Gimenez, elle va te leur délayer la tronche de belle manière, et à l'eau bénite encore! (Et hop, un nouveau prétexte à trente commentaires débiles!)

Écrit par : Isabelle Molitor | 24/02/2015

La pitié, c'est la com-passion. Une passion con, en somme.

Écrit par : Félicie Corvisart | 20/02/2015

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Je ne suis pas un pseudo! Je m'appelle Atarte! Je m'appelle Atarte! Pat Atarte! Pat Atarte!!

Écrit par : Atarte | 21/02/2015

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Je mets ma main au fournil que vous êtes boulanger-pâtissier, M. Pat (diminutif de Patrick, sans doute ?) Atarte. Parce que sinon, vous n'oseriez pas vous présenter sur ce blog où l'on est friand de noms prédestinants, et vous auriez pris un pseudo, tout vergogneux de ne pas vous montrer à la hauteur de votre patronyme.

Écrit par : L'aigre de mots | 22/02/2015

Ne cherche pas de noises à Pat Atarte. Moi, je m'appelle Agatho, et c'est pas facile à porter, surtout quand on a comme prénom Agata.

Écrit par : Agata Agatho | 22/02/2015

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Ça sénilise sec par ici.

Écrit par : Agaga | 23/02/2015

Eh bien, quand James Song reprochait à Landry d'encombrer le terrain, il n'imaginait pas toute la déferlante absolument inutile qui allait suivre. Et pour le coup, M. Landry n'y est pour rien.

Écrit par : Siger du Haryag | 23/02/2015

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merci de me faire voyager même quand c'est la ville "obstruante" à tout rêve d'au-delà...

Écrit par : josé | 08/04/2015

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