16/02/2009
La femme née des poignards
Je ne connais que très peu Louis Watt-Owen, mais j'apprécie ce que je vois sur son blog La Main de singe qui me fait l'honneur, en ces instants les plus récents, de faire un mirifique écho à mes efforts marathoniens du jour. Il vient de m'envoyer en outre une photo que je trouve absolument magnifique. Je ne résiste pas une seconde au plaisir de la mettre immédiatement en ligne (après quelques longs moments où j'ai bien cru que j'avais fait bugger mon accès internet...). Comme me l'écrit LWO la photo était faite pour le Poignard Subtil (même si ce dernier, je ne me lasserai jamais de le répéter, n'est pas perçu par moi comme l'objet tranchant bien connu, mais avant tout comme un outil qui permet de créer des passages entre les mondes parallèles, pouvant couper également, caractéristique seconde dans le livre de Philip Pullman, les matières les plus dures, un peu dans le genre d'Excalibur). Ce qu'il y a d'étonnant aussi dans la communication de cette image, c'est qu'elle rejoint une autre image qu'une petite fille m'a récemment prêtée pour que je la reproduise sur mon blog. J'attendais de la scanner, repoussant toujours à demain, et puis voilà que cette autre femme, née de la silhouette tracée par les poignards dirait-on, voilà que cette femme, disparue depuis longtemps (hélas!...), a surgi, entraînant à sa suite la petite fille agenouillée, les poignards dans les mains...
19:56 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : louis watt-owen, art enfantin, lanceur de poignards, la main de singe | Imprimer