16/02/2009
L'aube
Voici ma première "oeuvre" répertoriée, ou plus exactement, conservée. Un travail en gommettes collées d'un doigt appliqué qui remonte à la maternelle de la rue du Pierrier à Saint-Cloud dans les années 50. Les êtres humains et les insectes, c'était tout comme, selon mes mains et mes yeux d'enfant, puisque que ce bonhomme a six membres. Il avait comme une boule dans la gorge... Et deux yeux différents (ce qui était, est toujours, la vérité). Son chapeau ressemblait à un sombrero, goût inconscient pour un Mexique imaginaire?
08:40 Publié dans Art de l'enfance, Art singulier | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : bruno montpied, art enfantin, art singulier | Imprimer
Commentaires
C'est marrant mais la partie bleue de ce qui vous évoque un sombréro ainsi que le corps de même couleur et les deux gros yeux ronds me font plutôt penser à un flic avec son képi gesticulant dans tous les sens. Un traumatisme de l'enfance peut être après vous être fait engueulé par un pandore pour avoir voulu traverser en dehors des clous... (déjà à l'époque). Enfin ce que j'en dis c'est pour que vous ne vous sentiez pas trop seul devant votre clavier durant votre performance.
Écrit par : RR | 16/02/2009
Répondre à ce commentaireOn aimerait suivre au plus près l'effort du marathonien, l'encourager et lui passer une gourde au bon moment. Puisque l'on ne connaît ni l'horaire des interventions ni l'itinéraire, commençons par agiter les fanions au hasard et d'abord dans "le salon de Bruno".
Écrit par : Emmanuel Boussuge | 16/02/2009
Répondre à ce commentaireDeux notes en cinq heures, que dis-je, deux brèves en cinq heures, il s'essouffle notre marathonien ou bien il est déjà allé se recoucher?
Écrit par : Zébulon | 16/02/2009
Répondre à ce commentaireJ'ai envie de vous renvoyer au Lièvre et la Tortue, cher monsieur. L'important n'est pas de cracher de la note à tout va, ne me confondez pas avec les robots qui sévissent passablement sur le net nous incitant à les confondre avec les quelques hommes qui restent, et reportez vous à ma note introductrice de ce matin, vers 7 heures....Il faut partir à point...
Je me CONSACRE au blog durant ce marathon. J'y pense toute la journée, et cela peut donc très bien se matérialiser -si j'ose m'exprimer ainsi- par une absence plus ou moins prolongée de notes visibles... Voilà, voilà...
On jugera à la fin des 24 heures, si vous voulez bien, et il faut en garder en dessous de la semelle (ou de la souris).
Très joli votre pseudo, cela dit.
Écrit par : Le sciapode | 16/02/2009
Répondre à ce commentaireVous fachez pas Sciapode, vous pouvez le rêver toute la journée votre marathon, et nous aussi avec vous.
Écrit par : Zébulon | 16/02/2009
Répondre à ce commentaireJe me fâche pas, Zébulon, c'était de bonne guerre votre remarque. Heureux de pouvoir rêver avec mes lecteurs...
Écrit par : Le sciapode | 16/02/2009
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