05/02/2013
Le gagnant du quizz des vedettes de Guy Brunet
Il était temps de proclamer les résultats de notre jeu de début d'année. Cela commence à ruer dans les brancards du côté des joueurs. Alors voici tout d'abord les noms des stars qu'il fallait reconnaître: 1. Jane Birkin, 2. Danielle Darrieux, 3. Romy Schneider, 4. Catherine Deneuve, 5. Micheline Presle, 6. Paul Meurisse, 7. John Wayne, 8. Burt Lancaster.
Chatherine Deneuve et ses collègues chez Guy Brunet, ph Bruno Montpied, 2012
J-C. et C.B. étaient bien partis pour les quatre premiers mais ont fléchi sur les trois suivants avant de se reprendre sur le dernier, mais cela n'a pas suffi. Luc M. de Rézé a participé ensuite, tout au plus en effet... Emmanuel Boussuge comme J-C. et C.B. était bien parti et s'est effondré ensuite, malgré Presle et Lancaster reconnus (ce n'est pas facile pour la délicieuse Micheline Presle qu'on a tendance à oublier, à tort), il a accumulé trois erreurs rédhibitoires. Darnish a fait trois fautes (et demi), voyant une Brigitte Bardot à la place d'une Jane Birkin (mais il y eut interchangeabilité entre les deux à un moment dans la vraie vie, alors il n'était pas loin). Il y a eu aussi un autre joueur (Cosmo?), mais son commentaire a été malencontreusement effacé par ma maladresse (contacté, il n'a pas renvoyé ses réponses, qui de toute manière étaient entachées de trop d'erreurs).
Elizabeth Taylor et ses copines, chez Guy Brunet, ph BM, 2012
Non, celui qui a fait le moins de fautes, seulement une, Simone Valère (qui se souvient encore d'elle pourtant? Seulement Spiritobono!) au lieu de Romy Schneider, c'est le sus-nommé Spiritobono à qui je dois maintenant annoncer en privé son succès, si d'aventure il ne croisait pas sur ce blog. Oui, il est bon physionomiste, et plus que cela, il sait lire du Guy Brunet dans le texte! Il gagne donc un catalogue de la collection de l'Art Brut (à signaler que les seconds, par ordre d'arrivée, sont J-C. et C.B., suivis en troisième position par Emmanuel Boussuge, ceci dit au cas où le gagnant ne se manifesterait pas pour recevoir son lot...).
Acteurs et producteurs anglais et américains, Woody Allen, Hitchcock, Von Stroheim... Chez Guy Brunet, ph BM, 2012
23:28 Publié dans Art immédiat, Art naïf, Art populaire contemporain, Cinéma et arts (notamment populaires) | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : guy brunet, spiritobono, art modeste, cinéma et art populaire, art naïf | Imprimer
Commentaires
Bravo Spititono.Je te souhaite une bonne lecture de ce livre gagné à la sueur de tes yeux de lynx. Que Guy Brunet me pardonne de ne pas avoir reconnu Catherine Deneuve...il m'arrive pourtant souvent de la decouper...
Écrit par : Darnish | 06/02/2013
Répondre à ce commentaire"Spititono"? Ci piti tonneau? Ah, ces Bretons, tous les mêmes...
Écrit par : Le sciapode | 07/02/2013
Merci Darnish, et surtout merci monsieur Poignard Subtil.
Je suis ému d'avoir gagné.
Par ailleurs, quelqu'un pourrait il me dire si l'on peut aller voir le Museum of Everything "librement", ou s'il faut, comme semble l'exiger son site, livrer son adresse email auparavant pour obtenir droit de visite.
Merci encore.
Écrit par : spiritobono | 07/02/2013
Répondre à ce commentaireGentile Signor Spiritobono,
le Museum of Everything est ouvert du mercredi au dimanche inclus de 11 heures à 19 heures et ce jusqu'au 24 février. Il suffit de s'acquitter d'une thune (5 €) pour y accéder. Et ça se trouve au 14 boulevard Raspail, à un jet de pavé du métro rue du Bac.
Écrit par : L'aigre de mots | 07/02/2013
Répondre à ce commentaireJe n'ai pas parlé de cette expo certes montrant des oeuvres de grande qualité (ce qui m'a frappé le plus, c'est le couple Black avec ses mannequins animés et sonorisés dans un désert américain, là...) mais présentée n'importe comment. Ce qui est peut-être normal puisque c'est le musée du anything anyway, nouvelle manière d'accrocher à la va-comme-je-te-pousse. Sans parler de la boutique aux produits dérivés, des catalogues hors de prix, faits à l'évidence pour faire cracher au bassinet la gentry germano-pratine, et de cet immeuble épouvantable...
Le nom de cette collection est tout simplement idiot. Every thing, le musée de tout. Comme on n'a aucune imagination pour désigner ce que l'on quête et que l'on collectionne, qu'on ne veut pas paraître ringard en semblant dupe d'un label ou d'un autre, on met un vocable creux, le musée de tout. On avait déjà le musée du quai Branly, comme nom de musée incapable de se nommer. Ca fait deux à présent.
Écrit par : Le sciapode | 07/02/2013
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