01/01/2016
Un jeu de nouvelle année: qu'ont fait ces gus?
Pour ce début 2016, faisons un nouveau jeu. J'ai photographié quelque part en Europe l'année dernière les photos de quatre personnages dont on avait éprouvé le besoin de faire figurer dans un lieu public les têtes. D'après vous, qu'est-ce qui justifiait cette exposition? Qu'avaient-ils fait pour se rendre célèbres?
Ph. Bruno Montpied, 2015
(A gagner un livre surprise)
22:23 Publié dans Jeux, Photographie | Lien permanent | Commentaires (23) | Tags : jeux, photographie de gens connus, énigme, notoriété | Imprimer
Commentaires
Ne seraient-ce pas les Quatre Cannibales de Carélie ?
Écrit par : Wood | 02/01/2016
Répondre à ce commentaireEuh, non... A quoi faites-vous allusion avec vos cannibales?
Écrit par : Le sciapode | 02/01/2016
Répondre à ce commentaireL'Europe c'est grand ! dans quel pays ? car là la question est un peu trop ouverte. Il faut donner des indices.
Écrit par : RR | 02/01/2016
Répondre à ce commentairePeut-être des Espagnols qui ont combattu Franco...
Écrit par : Maldoror | 02/01/2016
Répondre à ce commentaireIls ont des tronches patibulaires, celui en noir et blanc a même un petit air vicieux. A mon avis ce sont des prêtres, affiliés à diverses religions.
Écrit par : L'aigre de mots | 02/01/2016
Répondre à ce commentaireBravo l'Aigre! Ce sont bien des prêtres, affilié à une seule religion, le christianisme tendance catholique. Espagnols. C'est dans une église près de Saragosse que je les ai vus accrochés au mur, l'église du coin désirant qu'on se souvienne de leurs trombines. Ils ressemblaient à une bande d'apparatchiks. Dans un autre contexte, on aurait pu les prendre pour les portraits de quatre malfrats activement recherchés. C'est pourquoi je les ai proposés pour ce jeu.
Vous avez gagné le livre... "Serge Paillard, Voyages en Patatonie, les Pommes de terre, dessins à l'encre 2002-2015", avec textes de Jean-Louis Cerisier et de Bruno Montpied, entre autres.
Écrit par : Le sciapode | 03/01/2016
Je ne sais s’il s’agit d’un indice laissé par notre sciapode, d’un lapsus révélateur ou d’une simple coïncidence, cependant le titre de votre notule "Qu’on fait ces gus?" contient (outre le mot "gus") le mot confesse ... il faudrait peut être expier vos péchés, mon cher sciapode!
Écrit par : professeur onagre | 14/03/2016
C'est que j'ai l'inconscient joueur... Faut croire. Bien vu. Mais j'attire votre attention sur l'autre injonction que l'on entend aussi : "Qu'on fesse ces gus!"
Écrit par : Le sciapode | 14/03/2016
Ne serait ce pas les quatre fameux pongistes inconnus, finalistes des championnats d'Europe de 1958 en double mixte catégorie myopes et hypermétropes ??
Écrit par : Romet | 02/01/2016
Répondre à ce commentaireIls s'appelaient tous Montpied (surtout les deux du milieu), ce qui en Auvergne est une manière de se rendre célèbre.
Écrit par : Zébulon | 03/01/2016
Répondre à ce commentaireJ'ai gagné la moitié du livre... J'ai deviné qu'ils pouvaient être espagnols !!! Rire
Écrit par : Maldoror | 03/01/2016
Répondre à ce commentaire... J'étais pas loin avec mes pongistes en double mixte...
Écrit par : romet | 03/01/2016
Répondre à ce commentaireOui, cependant... Il perd, mais droppe.
Écrit par : Le sciapode | 05/01/2016
Ch’suis désolé, cher Sciapode, mais dire que c’était près de Saragosse, c’est un peu exagéré. C’était peu après la frontière, encore en Catalogne, sur la route du val d’Aran, je pense que le village s’appelait Canejan ou un nom de ce genre (pas de carte sous la main). La petite église était près de l’endroit où nous nous sommes restaurés à midi. Nous sommes arrivés le soir à Saragosse, mais pour avoir conduit toute la journée, je peux vous assurer que ce n’était pas encore tout près...
Écrit par : Régis Gayraud | 03/01/2016
Répondre à ce commentaireBen non, vous vous fourrez le doigt dans l'œil mon cher, c'était dans une immense plaine poussiéreuse, pas du tout après la frontière, mais dans la province de Huesca, entre, grosso modo, Lleida et Saragosse, et on n'était pas si loin de cette ville (50 kms?). Mais cela n'a aucune importance ici, nul besoin de situer plus précisément l'endroit...
Écrit par : Le sciapode | 03/01/2016
Répondre à ce commentaireNon, mon cher, c’était là où nous avons déjeuné dès notre premier arrêt, sur une petite placée en pente. Vous confondez avec l’église que le vieux curetons nous a fait visiter, en Aragon.
Écrit par : Régis Gayraud | 04/01/2016
Répondre à ce commentaireAh ouiche, vous avez raison, en plus, je l'avais marqué... Exemple de souvenir agrégé à un autre. Mais c'est toujours aussi peu intéressant. Discussion d'apprentis vieillards résistant à Alzheimer...
Écrit par : Le sciapode | 05/01/2016
Aragon, cureton, ça rime et ça me rappelle quelque chose...
Écrit par : L'aigre de mots | 04/01/2016
Répondre à ce commentaireMartine, est-ce que tu étais à Tahiti et Bora Bora en 1990, pendant l'étè? Et, après, à Rarotonga, avec le bateau " Inertia "?
Écrit par : Giampiero Pani | 03/03/2016
Répondre à ce commentaireQue vient faire ce commentaire ici ?
Écrit par : Le sciapode | 04/03/2016
... On dirait du Duras...
Écrit par : Atarte | 04/03/2016
Ou du Godard:
Dis, tu l'aimes ma barbe ? Et mes gros sourcils, tu les aimes aussi ? Et mon sourire coincé, tu l'aimes aussi mon sourire coincé ?...
Écrit par : Zébulon | 04/03/2016
Mouais, «Le Mépris » avec ces types-là, je doute qu’il aurait eu le même succès.
Écrit par : Atarte | 05/03/2016
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