Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Des outsiders dans le Cantal: jeunes, entre deux ou affinés | Page d'accueil | Le saint patron du Poignard Subtil »

26/07/2010

Fin du Tour de France

      Pour saluer la fin du Tour de France, ce petit panneau d'un de nos inspirés du bord des routes récemment découvert.

1erau-colventou,-juil-10.jpg
Panneau d'Alexis Le Breton, Morbihan, photo Bruno Montpied, 2010

12:14 Publié dans Art immédiat, Environnements populaires spontanés, Inscriptions mémorables ou drôlatiques | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : inscriptions drôlatiques en plein air, alexis le breton, environnements spontanés, habitants-paysagistes, cyclisme, panneaux insolites |  Imprimer

Commentaires

Expo : "Essentiel, 40 ans d art brut et singulier"

jusqu'au 31 juillet
Pavilon CARRE-BAUDOIN -121 rue de Menilmontant 75020
www.artbrutetsingulier.org

11h 18 h - entrée libre

Écrit par : Granier | 26/07/2010

Répondre à ce commentaire

Tu es le troisième à me signaler cette expo. Va vraiment falloir que je me bouge... Merci du lien qui permet de se faire une idée effectivement.

Écrit par : Le sciapode | 26/07/2010

Répondre à ce commentaire

En bateau on peut rejoindre le Col de l'Utérus par le Canal de l'Urètre.

"Alexis Le Breton, Morbihan" encore un nom prédestinant !

Écrit par : Le Singe Nu | 27/07/2010

Répondre à ce commentaire

Est-ce dans l'ascension du mont de Vénus ?

Écrit par : RR | 01/08/2010

Répondre à ce commentaire

Ouais... Ces calembours, c'est un Contador, mire debout.

Écrit par : Artaban Cariâtre | 01/08/2010

Répondre à ce commentaire

AH je vois, après l'ascension des deux premiers cols, à lecture verticale finale on a : vent frais, tout jus.

L'inspiration est forte...

Écrit par : Valérie | 14/08/2010

Répondre à ce commentaire

Et le col de lutte est russe, le saviez-vous?

Écrit par : Aristide Cariâtre | 14/08/2010

Répondre à ce commentaire

Ah, non, je ne connaissais que le rustre col de l'us, un sacré os.
Mais babiller sans bavette avec un vieil écran qui n'est plus waterproof serait un acte suicidaire.
Je vous salue bien.

Écrit par : Valérie | 14/08/2010

Répondre à ce commentaire

(car c'est l'agonie de mes états internétiques par défection de matériel)
Au revoir,

Écrit par : Valérie | 14/08/2010

Répondre à ce commentaire

Lus tes reins, accolerait ici un frère hérétique. - Tac!

Écrit par : Emmanuel Boussuge | 17/08/2010

Répondre à ce commentaire

En ce jour du décès de Laurent Fignon, il ne serait pas inutile d'évoquer encore le trouffignon pour saluer les forçats du tour (de taille).
Par ailleurs, ce n'est plus dévoiler un secret que de dire que l'histoire du Golgotha et des trente-trois ans de celui qui y serait grimpé n'est qu'un symbole des trente-deux paires de vertèbres dont la troisième, réunie en une seule, est le crâne humain, et que cette montée au Mont-du-Crâne n'est donc qu'un symbole d'une course de côte(s) qui ferait sortir l'homme de l'animalité.
Régis Gayraud

Écrit par : régis Gayraud | 31/08/2010

Répondre à ce commentaire

Ravi d'apprendre que certains homines sapientes ont trente-deux paires de vertèbres, soit soixante-quatre en tout. Sans doute deux paires de roustons balottent-elles au bas de leur double périnée...

Écrit par : L'aigre de mots | 01/09/2010

Répondre à ce commentaire

Effectivement, très cher vieil abbé, j'ai fait erreur : il ne s'agissait pas de trente-deux paires, mais de trente-trois vertèbres, simplement : soit les vingt-quatre vertèbres vraies divisées en sept cervicales, douze dorsales et cinq lombaires, auxquelles ont doit ajouter les cinq vertèbres atrophiées et soudées qui forment le sacrum, et les quatre coccygiennes plus ou moins soudées qui forment le coccyx. Le crâne, que certains anatomistes présentent comme une vertèbre en pommeau, domine le tout. Il faut donc trente-trois vertèbres pour grimper jusqu'au siège de l'esprit. Ce qui est amusant, c'est que j'avais exposé le problème - certes sans les mêmes erreurs - il y a quelques années à notre cher Jean-Pierre Le Goff, et que sa réponse avait été tout autre, enjouée et intéressée. C'est même lui qui m'avait suggéré l'idée de la Passion du Christ comme course de côtes. Autre tempérament.
Régis Gayraud

Écrit par : Régis Gayraud | 01/09/2010

Répondre à ce commentaire

L'ami Le Goff ne pouvait pas ne pas connaître l'article d'Alfred Jarry paru dans le Canard sauvage des 11-17 avril 1903 intitulé «La Passion considérée comme course de côtes», puisqu'il est reproduit dans l' «Anthologie de l'humour noir» d'André Breton. On n'y retrouve cependant pas votre hypothèse hardie sur l'ascension vertébrale de l'esprit, mais la démonstration irréfutable des talents vélocipédiques du fondateur du christianisme, plus connu, il est vrai, comme aviateur.

Écrit par : L'aigre de mots | 01/09/2010

Répondre à ce commentaire

Comme aviateur ? Mais pour quels exploits aériens ?
N'est-il pas plutôt connu comme acrobate au regard de ses prouesses d'équilibriste ?

Écrit par : RR | 02/09/2010

Répondre à ce commentaire

Oui, bien sûr, et vous me voyez heureux, cher aigre, de vous avoir donné une belle occasion de montrer une fois encore de manière si courtoise votre culture. Jean-Pierre avait eu la gentillesse, lui aussi, de me rappeler le passage de Jarry - que je connaissais, rassurez-vous - de "me le rappeler", je dis bien - c'est ainsi qu'il s'exprimait. Merci, en outre, de considérer mon hypothèse - qui me paraît pourtant tellement limpide - comme hardie, même si elle s'éloigne un peu de l'humour noir. Vos roustons aussi sont intéressants. J'ai également une théorie sur Lazare comme saint patron des proxénètes qui fit scandale il y a quelque temps dans les coulisses d'un colloque. Enfin, si vous me permettez ce calembour, en hommage à cette pratique dans laquelle excella l'ami Le Goff, à l'occasion de ce petit diverticule ostéophile qui nous a occupé ces jours-ci, je citerai volontiers Mac Mahon (eh oui!) : "Que d'os! Que d'os!" et encore: "C'est vous l'Aigre?... Eh bien, continuez!"
Comme aviateur, ça vous étonne cher RR? Je vous vois venir : impossible sans moteurs Rolls-Royce! Décidément, vous voudriez fournir même les prophètes. Regardez, il monte au ciel, il descend, etc. Avec les anges et archanges, c'est même toute une escadrille. C'est amusant, je pensais que vous rebondiriez plutôt sur "fondateur du christianisme".

Régis Guère Os

Écrit par : Régis Gayraud | 02/09/2010

Répondre à ce commentaire

Pour faire rebondir la pelote du débat, je crois savoir que ce qu'on appelle curieusement « l'âge du Christ », c'est-à-dire l'âge de sa mort, n'a été fixé à trente-trois ans que bien plus tard, peut-être seulement au moyen âge, comme la date de sa naissance d'ailleurs. Mais, sans que cela réfute pour autant la théorie vertébrale, le choix des trente-trois ans renvoie à l'âge où mourut Alexandre le Grand, figure sacrificielle de conquérant fauché en pleine jeunesse, à la stature quasi divine. De nos jours, les experts en christologie agréés par les autorités vaticanes s'accordent à dire que le père fondateur de leur boutique est né en 6 ou en 7 avant J.-C., et qu'il a ressuscité le 15 avril 30. Cette dernière date a quelque chance d'être attestée historiquement, si toutefois le personnage de Jésus a réellement existé, ce que rien, en dehors des sources chrétiennes, ne garantit formellement.

Écrit par : L'aigre de mots | 02/09/2010

Répondre à ce commentaire

17 commentaires à présent pour une si chétive note? Mais c'était sans doute sans compter avec la fécondité des utérus.

Écrit par : Le sciapode | 03/09/2010

Répondre à ce commentaire

C'est que vos commentateurs, cher Sciapode, roulent à l'EPO.
Personne ne veut connaître ma théorie sur Lazare?

Écrit par : Régis Gayraud | 03/09/2010

Répondre à ce commentaire

Si, si, on veut la connaître votre théorie sur Lazare en saint protecteur des proxénètes. Une théorie incarnée, j'espère, développée à partir d'expériences personnelles. On veut du vécu pur jus (100%bio, sans ajout d'édulcorant ou de conservateur de synthèse) Et ne nous cachez rien sur les coulisses de ce colloque.

Écrit par : RR | 03/09/2010

Répondre à ce commentaire

Écrire un commentaire